Julius Bockelt
Membre du très renommé atelier Goldstein, à Francfort, ce jeune artiste est fasciné par les limites de la perception. Dans son travail, les sons, les vibrations, les ondes et les interférences sont rendus visibles. Mariant l’observation à la poésie, les structures de réseaux émergent et créent des jeux optiques saisissants. Exposé pour la première fois en galerie en 2020, Julius Bockelt s’est déjà vu offrir une exposition monographique au Museum Folkwang de Essen, et a été présenté au Museum of Everything (Londres), à la Maison rouge (Paris) ou encore au MoNa à Brierdale (Australie). En 2023, il est notamment exposé aux côtés de Gerhard Richter au Museum Sainclair-Haus, en Allemagne.
Depuis son enfance, Julius Bockelt, né en 1986, étudie méticuleusement les limites de la perception : les vibrations, les ondes sont pour lui visuelles, structurelles et acoustiques. Fasciné par les sons, par la structure des nuages, qu’il photographie une grande partie de la journée, mais aussi par la formation des bulles de savon, il transpose l’idée de superposition et d’échos dans des dessins de petit format, qui forment l’essentiel de son travail.
Ses œuvres, proposées pour la première fois en galerie, ont fait récemment l’objet d’une exposition monographique d’envergure au Museum Folkwang de Essen (ALL), et a pu être admiré ces dernières années au Museum of Everything à Londres (GB), à la Maison rouge, à Paris, ainsi qu’au Museum of Old and New Art de Hobart (AUS).
Julius Bockelt fait déjà partie de collections prestigieuses comme celles de Hannah Rieger (Autriche), The Museum of Everything (Angleterre), Ulrike Crespo (Allemagne) ainsi que la collection abcd/bruno decharme (Paris).
Préface : Raphaël Koenig.
Avant-propos : Christian Berst.
Publié à l’occasion de l’exposition In abstracto #2, du 5 mars au 30 mai 2020.